Etape 115 - Parc
Torotoro - La montée vers la cité d'Itas
Dimanche 30 juin 2019.
L'autre grande rnadonnée à faire au parc de
Torotoro*** est la ciudad de Itas***.
La montée, sur une piste parfois vertigineuse, dure
environ deux heures. Elle permet d'abord d'observer ces incoyables
formations géologiques.

La montée est éprouvante,
on passe en quelques minutes, de 2.500 à plus de
3.600 mètres d'altitude.

La vue sur ces incroyables
formations géologiques vaut véritablement le détour...
et surtout un arrêt photographique. Il s'agit ni
plus ni moins qu'un plancher océanique qui a été
littéralement soulevé hors de l'eau pour se retrouver
là, à plus de 3.000 mètres d'altitude. Exceptionnel.

Cette vision surréaliste vaut
aussi une petite photo-souvenir. Brenda se prête
gentiment au jeu.

Une fois cette barrière géologique
franchie, nous poursuivons notre trajet le long de la piste vertigineuse.
La vallée profonde du Torotoro se dévoile à
mesure que nous montons.

Et à mesure que nous montons,
la végétation change également. Quel dommage,
nous n'apercevons aucun condor qui ont pourtant la réputation
d'habiter cette partie du monde.

Après un long trajet, nous arrivons
bientôt au sommet du parc. Nous faisons un premier
arrêt pour admirer les formations géologiques extraordinaires
qui se dévoilent sous nos yeux.

A bien des égards, on
se croirait transportés sur les hauteurs du canyon du Colorado.
La foule en moins. C'est bien simple, nous sommes les seuls
touristes à arpenter les flancs du canyon du Torotoro***.

La vue sur le canyon est tout simplement
époustouflante. Ces immenses paysages sont d'une
beauté exceptionnelle.

Nous remontons à bord de notre
véhicule et nous grimpons encore pendant un bon quart d'heure,
jusqu'à arriver au point le plus haut du canyon. La vue dégagée
sur le paysage est exceptionnelle.

Et là encore, toues les strates
géologiques se dévoilent. Il suffit de laisser
son regard errer le long des flancs du canyon pour identifier clairement
toutes les couches sédimentaires empilées les unes
sur les autres.

Devant nous, le canyon du Torotoro
s'étend jusqu'à perte de vue, déployant tout
une gamme incroyable de rouge et d'ocre.

Le vent souffle fort. Mais un immense
sentiment de liberté s'empare de nous. Quel calme,
quelle sérénité. Il ne manque que le vol silencieux
des grands condors de la région.






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