Etape 100 - Sucre - Sous les arches du mercado central

Vendredi 28 juin 2019. Si l'on se rend à Sucre, il est un endroit qu'il ne faut manquer sous aucun prétexte... Il s'agit bien entendu du grand mercado central***, le plus grand marché de toute la Bolivie.

C'est bien simple, on y trouve de tout et à n'importe quel prix. Des choses toutes plus étranges que les autres. Jusqu'à ces productions de miel dont nous nous délecterons, Diana, Brenda et moi.

Ce mercado central aux mille et une couleurs offre tout ce que vous pouvez souhaiter. Y compris une vaste étendue de pâtes alimentaires. Il y en a pour tous les goûts !

Ici, pas besoin de sachets, pas de marques... Il suffit juste de se baisser, de prendre une pelle ou un gobelet et vous faites le plein de pâtes.

Plus loin, rangés les uns après les autres, ces sont les producteurs de volailles qui viennent vendre chaque jour leur production sur les étals du marché.

De l'autre côté de l'allée, on peut trouver la sauce qui accompagnera vos plats, les épices, les condiments. Tout ce qu'on peut imaginer.

Chaque aliment, chaque produit, est soigneusement pesé sur d'antiques balances réglées comme des horloges suisses.

Ailleurs, on trouve toutes sortes de pois, toutes variétés de haricots, tout ce qu'il faut pour agrémenter les plats traditionnels de la Bolivie.

Plus loin, voici les marchands de fruits et légumes. De quoi vous faire tourner la tête, tant la nature est généreuse en Bolivie. Parfois, les produits viennent de très loin, jusqu'aux confins de l'Amazonie dont le bassin s'étend plus à l'Est.

La nature est tellement généreuse qu'à voir la taille des fruits et des légumes récoltés, on pourrait penser qu'ils serviront à confectionner des plats pour géants et autres gargantuas.

Les radis, les racines, les pommes de terre, les choux, toutes les cultures andines complètent ce tableau coloré.

Dian qui a l'habitude de l'exubérance des marchés colombiens reconnaît toutes sortes de fruits et de légumes qui nous sont totalement inconnus en France et en Europe.

Les étals du marchés s'étalent non seulement sur des centaines de mètres, mais occupent encore plusieurs étages. Un véritable labyrinthe dont on ne ressort que les bras chargés de victuailles.