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Namibie - Du parc Etosha au Namib - Février 2025

Etape 54 - En quittant le désert du Namib - Sur la route de Lüderitz

Dimanche 16 février 2025. Ce matin, c'est avec grand regret que nous quittons notre lodge qui restera le plus beau logement que nous aurons eu au cours de ce voyage.

Mais la route qui nous attend, qui va de Sesriem à Lüderitz, sera longue, voire très longue car Fanny est tombée malade, victime d'un coup de chaud dans le désert du Namib.

Le trajet entre Sesriem et Lüderitz, dans le sud de la Namibie, traverse une succession de paysages variés, révélant la diversité géographique et la beauté austère de cette région.

En quittant Sesriem, on traverse d’abord les plaines arides qui entourent le désert du Namib.

Les dunes de sable rouge, emblématiques de Sossusvlei, laissent peu à peu place à des étendues de gravier et de roches parsemées de buissons résistants.

Les montagnes du Naukluft, avec leurs sommets découpés et leurs flancs striés, forment une toile de fond majestueuse, tandis que les lits de rivières asséchées, appelés « oueds », rappellent la rareté de l’eau dans cette région.

En progressant vers le sud, le paysage devient plus austère. Les plaines de gravier s’étendent à perte de vue, ponctuées de montagnes isolées et de collines rocheuses aux formes étranges.

Les couleurs dominantes – des nuances de gris, de bruns et d’ocres – créent une palette sobre mais fascinante.

Par endroits, des pans de sel brillent sous le soleil, témoignant de la présence ancienne de lacs éphémères.

Plus loin, la route traverse le parc national de Namib-Naukluft, où les paysages désertiques côtoient des formations géologiques spectaculaires.

Les plaines de sable blanc, contrastant avec les montagnes sombres, offrent des vues surréalistes.

La végétation, rare et dispersée, se limite à quelques acacias et buissons de nara, dont la résistance à l’aridité est impressionnante.

En approchant de la côte atlantique, le paysage change à nouveau. Les plaines arides laissent place à des étendues de sable mouvant et à des dunes côtières, modelées par les vents marins.

La brume océanique, fréquente dans cette zone, enveloppe le paysage d’une atmosphère mystérieuse. Les vestiges de l’histoire coloniale, comme les bâtiments abandonnés de Kolmanskop, ajoutent une dimension historique au décor.

A l'approche de Lüderitz, on traverse encore d'immenses plaines arides sur lesquelles paissent des troupeaux de chevaux sauvages.

Plus loin, ce sont des oryx que l'on croise en toute liberté, sans oublier quelques colonies d'autruches sauvages.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 


 
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