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De Bruxelles à Cologne, en passant par Aix - Juillet 2020

Etape 43 - Musée Wallraff - Les autres grandes oeuvres

Mardi 7 juillet 2020. Je termine ma visite du musée Wallraff par une série de toiles beaucoup plus récentes que les primitifs allemands. A commencer par cette magnifique Sainte Famille avec Saint Jean et sainte Elisabeth, par Pierre-Paul Rubens.

Ce bain constitue une évocation du baptême d'après trois versets de saint Paul.

A voir aussi, cette place de marché dans un village flamand sur fond d’exécution capitale par Gillis Mostaert.

Gillis Mostaert, né à Hulst (Pays-Bas) le 27 juin 1528 et mort à Anvers le 28 décembre 1598. Il est un peintre flamand contemporain de Pieter Brueghel l'Ancien. Artiste polyvalent, il excelle aussi bien dans la peinture de paysage que dans celle de genre et d'histoire.

Il est connu en particulier pour ses paysages d'hiver, ses scènes d’incendies et ses représentations de marchés et de kermesses. Ses œuvres sont parmi les plus recherchées de son temps.

Très peu d'œuvres peuvent lui être attribuées avec certitude. Il semble avoir travaillé principalement pour des clients privés à qui il fournit des images dans un large éventail de sujets : scènes de marchés et de foires de villages, allégories et paraboles, sujets religieux, paysages hivernaux et enneigés, scènes de guerre, maisons en flammes…

On continue par un incontournable : un autoportrait de Rembrandt.Rembrandt van Rijn a peint plus de 90 autoportraits, depuis la jeunesse jusqu'à la vieillesse. L'autoportrait en Zeuxis est un des derniers, peint seulement six ans avant sa mort, en 1669 à l'âge d'environ 57 ans.

Encore de nos jours, il reste énigmatique et très différent des autres autoportraits de la vieillesse. Un prise de vue aux rayons X a montré que dans une première version, le peintre s'était représenté non riant mais seulement souriant.
A voir aussi ces deux toiles qui se répondent : portrait d'un homme et de son épouse, par un peintre anonyme.
Une possible identification, mais non confirmée, attribue ces deux oeuvres à Nicolaes Noppen.

A voir deux oeuvres de Jacob Jordaens. Tout d'abord, le portrait de Mme Johan Wierts.

Puis le portrait de Johan Wierts. Jacob Jordaens (en français parfois Jacques Jordaens et en néerlandais Jacobus Jordaens) est un peintre et graveur flamand, né le 19 mai 1593 à Anvers, où il meurt le 18 octobre 1678.

Très rare, voici au unautoportrait de Pierre-Paul Rubens au centre d'un cercle d'amis à Mantoue (vers 1602).

Puis un autre autoportrait de Rubens, cette fois en homme d'église.

On passe ensuite à cette oeuvre de Jan Steen, Samson et Dalila (1667).

Jan Havickszoon Steen (Leyde, 1626 – inhumé à Leyde, le 23 février 1679) est un peintre néerlandais (Provinces-Unies) du siècle d’or. Représentant du baroque, il figure parmi les peintres de genre néerlandais les plus importants de son époque.

Il a peint quelques centaines de tableaux, de qualités inégales, mais caractérisés, surtout, par la connaissance du cœur humain, l’humour, et une utilisation exubérante de la couleur.

Il représente fréquemment des valeurs morales dans des scènes du quotidien, en recourant à des images la plupart du temps symboliques.

La vie quotidienne constitue le sujet de prédilection de Steen, qui a un style baroque. Un bon nombre de tableaux sont pleins d’animation, voire chaotiques et luxurieux, à tel point que ce genre de scènes a donné naissance à une expression couramment utilisée en néerlandais : « een huishouden van Jan Steen », c'est-à-dire « un ménage de (à la) Jan Steen ».

Magnifique aussi dans sa composition, voici Un officier dans une taverne, de Peter Hooch (1655).

Pieter Hendricksz. de Hoocha, baptisé le 20 décembre 1629 à Rotterdam et mort entre 1684 et 1694 à Amsterdam, est un peintre néerlandais du siècle d’or. Représentant du baroque. Il est considéré comme l’un des principaux maîtres de la scène de genre.

Plus classique, voici la famille de Christoph Wintzler (1616), par Gottfried won Wedig.

Ce n'est que tout récemment qu'a été reconnue l'importance de cet artiste dans la peinture allemande du xviie siècle. Wedig n'avait été considéré jusque-là que comme un portraitiste médiocre et un peintre de compositions religieuses.

Les " repas " flamands et les natures mortes de Flegel inspirèrent certainement Wedig, qui fut dans la région de Cologne un pionnier du genre de la nature morte.

Wedig est né à Cologne en tant que petit-fils de Barthel Bruyn le Jeune qui lui a probablement appris à peindre. Il est connu pour ses portraits et ses natures mortes.

Toujours de Peter de Hooch, voici ce couple avec une cage de perroquet (1675).

Le style de Pieter de Hooch est caractérisé par le raffinement lyrique de la composition picturale et une grande maîtrise de la profondeur spatiale. Au début de sa carrière, celui-ci, comme beaucoup de jeunes peintres à son époque, peint surtout la vie des soldats, des paysages avec des cavaliers et des archers par exemple.

Il ne s’intéresse pas tant aux sujets qu’au développement de son traitement de la lumière, de la couleur et de la perspective. Après son arrivée à Delft, il se met à réaliser des scènes de genre avec des personnages qui mangent, boivent et jouent de la musique.
Et voici un de mes peintres préférés, Gérard Dou, Une vieille femme avec une chandelle (1661). Il est le principal représentant de l’école de Leyde, dite de la « peinture fine » (Fijnschilderei), dont la technique s'apparente à la miniature (enluminure).

Magnifique encore, cette scène villageoise de David Teniers le jeune (1668).

Puis ce Paysage de neige, de Hendrick Avercamp. Avercamp est l'un des grands peintres de l'école hollandaise du XVIIe siècle, spécialiste comme nul autre des paysages ou scènes d'hiver, des environs de Kampen et de la rivière Ijsel.

Voici enfin quelques oeuvres contemporaines qui m'ont tapées dans l'oeil. A commencer par ce Port de Concarneau, par Paul Signac.

Très rare, cette oeuvre de Van Gogh, le pont levant d'Arles (1888).

Puis, la vue du parc des crêtes, au-dessus de Clarens, par Gustave Courbet (1874).

Une autre oeuvre très rare de Van Gogh, ce cottage à Nuenen (1885).

Puis ce portrait d'un couple, par Pierre-Auguste Renoir (1868).

Et encore une oeuvre de Renoir, ce paysage de Rueil (1879).

Très rare, une oeuvre de Edouard Munch, Melancholie (1905).

Et enfin, pour finir, cette oeuvre de James Ensor, Ostende (1884).

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 
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