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De Bruxelles à Cologne, en passant par Aix - Juillet 2020

Etape 22 - Bruxelles - Le musée Magritte Museum

Samedi 4 juillet 2020. Après le musée Old Masters, direction le musée Magritte consacré exclusivement au peintre belge qui conserve quelque 200 oeuvres et archives de l'artiste sur deux étages. Et on commence par L'Ecuyère.

Femme (1922). La plupart des oeuvres proviennent du legs d'Hélène Scutenaire-Hamoir et, bien sûr, celui de sa femme, Georgette Magritte.

La loge (1925). Il convient de saluer le travail qui a été accompli pour mettre en valeur l'ensemble de ces oeuvres et éclairer ainsi une oeuvre complexe.

L'homme du large (1927). Pour comprendre Magritte, il faut partir d'une évidence... Magritte est un peintre très moyen, d'ailleurs il n'aimait pas trop peindre !

La voleuse (1929). Magritte était en revanche un poète de génir qui pouvait tenir la dragée haute à André Breton.

Le sang du monde (1927). Magritte peignait en costume dans un coin du salon, sans faire de tâches pour ne pas irriter Georgette et remplaçait régulièrement son Loulou de Poméranie par un autre, blanc ou noir, appelé invariablement Toutou.

Campagne 1927). Il habitait une petite maison banlieusarde qu'on peut aussi visiter, rue Esseghem, à Jette. La maison est devenue un musée. Le mobilier y est installé comme à l'époque où le couple Magritte y vivait.

Le prince des objet (1927). Ce que Magritte aimait par dessus-tout, c'était de se retrouver entre copains du mouvement surréaliste à La Fleur en papier doré, rue des Alexiens ou bien jouer aux échecs au café Greenwich, rue des Chartreux.

L'histoire centrale (1928). Le mouvement surréaliste belge, créé en 1926, comptait entre autres, et dans le désordre : Dotremont, Goemans, Scutenaire, Mesens, Servais, Lecomte, Marien.

L'automate (1928). C'est avec cetains d'entre eux que Magritte se retrouvait chaque semaine pour discuter des titres de ses dernières productions, mettre en scène des gags de potache et les filmer.

Découverte (1927). Il aimait aussi explorer avec ses amis surréalistes, pour des revues confidentielles, mais ô combien subversives, les concepts les plus extravagants de l'après dadaïsme, et accessoirement résoudre des problèmes d'échecs.

Portrait d'Anne-Marie Crowet (1960). On ne comprend rien à Magritte si on ne l'inscrit pas au sein de cette mouvance ancrée dans le paysage belge des années 1925-1940.

Lola de Valence (1948). Magritte demeure toujours très indépendant du mouvement cornaqué avec autorité à Paris par André Breton.

Le retour de flamme (1943). Le surréalisme a influencé tous les mouvements d'avant-garde, du pop-art à l'art cnceptuel en passant par l'hyperréalisme : pas étonnant que l'Amérique l'ait plébiscité.

L'univers mental (1941). Magritte donne l'image d'un petit bonhomme tranquille et routinier, mais sous le chapeau melon s'est toujours trouvé un cerveau en ébullition.

La magie noire (1945). Avec lui, les pommes dilatent les murs, les rochers défient la gravitation, les trombones prennent feu, les girafes tiennent dans un verre et le jour se confond avec la nuit. Magritte est un véritable brouilleur des signes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 
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