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Croatie - De Zagreb à l'Istrie - Février 2022

Etape 51 - Porec - Du haut du campanile de la basilique

Mercredi 9 février 2022. Difficiele de quitter la basilique après avoir subi un tel choc visuel. Franchement, je n'avais pas vu d'aussi belles mosaïques depuis ma visite de Constantinople et de la Sicile.

Pour me remettre de mes émotions, je décide de monter jusqu'au sommet du campanile.

Pour y accéder, il faut payer une somme modique et accéder à un escalier qui se trouve juste à côté du joli baptistère octogonnal datant du VIe siècle.

Un escalier en bois mène directement au clocher du campanile, depuis lequel on embrase une vue à 360 degrés sur la cité de Porec et ses environs.

La vue sur laville est vértablement exceptionnelle dominée par les toits orangés de la ville et par le littoral azuré.

Depuis le sommet du campanile, on découvre toute l'étendue de la ville. La succession de petits toits rouges et orangés est un véritable délice visuel.

Au delà, dans un bleu azur, teinté de flaques émeraudes, on reste ébahi par la beauté du littoral.

En penchant la tête, on aperçoit les premiers conteforts de la basilique, ses murs typiquement romains et sa belle silhouette qui tranche avec le bleu azur de la mer.

C'est en admirant cet enchevêtrement de magnifiques résidences antique que l'on imagine sans mal la beauté antique des anciennes villes romaines.

Et c'est aussi en contemplant cette ville, par les toits, que l'on comprend le génie romain dans l'organisation urbaine.

Malgré l'étroitesse des rues qui ont dû se frayer un chemin dans l'espace exiguë de la péninsule, on comprend rapidement que toutes ont été tirées au cordeau, dans un souci de rationnalisation extrême et de simplicité.

Au loin encore, on distingue les tours des anciens remparts de la cité qui se dressent encore sur les contreforts de la ville.

En admirant la basilique, je m'aperçois que j'ai oublié de vous mentionner la présence d'un petit musée à l'intérieur de l'édifice.

Au rez-de-chaussée, on découvre les vestiges - la plupart en plein air - de l'aoratoire originel du IVe siècle dédié à saint Maur de Parentium.

A voi des éléments architecturaux, grands et beaux fragments de mosaïques dont certains sont encore en place.

Le plus beau est sans conteste celui qui représente un poisson, symbole des premiers chrétiens.

Au premier étage, on peut visiter les salles du palais épiscopal, renfermant aujourd'hui statues, crucifix et retables du XVe et XVIe siècle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 
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