Rando du refuge
du ban - La descente finale
Vendredi 19 juin 2020.
Passé le raidillon qui permet d'accéder au refuge,
la descente du vallon du Ban ne présente aucune difficulté.

C'est même très agréable
de descendre en longeant les plaques de neige en train de
fondre et d'admirer la beauté environnante.

Pour ma part, je ne me lasse pas de
la vue du massif des Ecrins qui surplombe l'horizon.

Et surtout je ne me lasse pas de la
nature débordante qui m'entoure, régénérée
par les douces températures du printemps qui s'achève.

Le massif des Écrins abrite
une grande diversité de flore en raison de ses différents
étages de végétation, allant des zones subalpines
aux zones alpines.

L'étage collinéen et
montagnard inférieur (300-1 500 mètres) abrite
des forêts de chênes, de hêtres, de sapins et
d'épicéas. Mais aussi des prés et pelouses
alpines avec une variété de fleurs sauvages.

Létage montagnard moyen (1 500-2
200 mètres) est le domaine des hêtraies, des sapinières.
Mais aussi des alpages avec des fleurs telles que les gentianes,
les narcisses, les primevères et les pensées.

A l'étage subalpin (2 200-2
800 mètres), on trouve des pelouses alpines, des rochers
et éboulis. On trouve aussi des espèces végétales
adaptées aux conditions plus rudes, telles que l'edelweiss.

Enfin, l'étage alpin (2 800
mètres et plus) est le domaine des rochers, des éboulis
et des glaciers.

La végétation est adaptée
aux conditions extrêmes, avec des espèces résistantes
au froid et au vent.

Quelques exemples spécifiques d'espèces
que l'on peut trouver dans le massif des Écrins incluent
le génépi, une plante utilisée pour fabriquer
une liqueur locale, et l'ancolie des Alpes, une fleur aux pétales
bleus et blancs.

La flore de cette région montagneuse
est particulièrement adaptée aux conditions
environnementales difficiles, telles que le froid intense, le vent
fort et les variations d'altitude.














Rando
du refuge du ban - Sur le chemin du retour
|